Grosses bises !
Poupre (marseillais): Pieuvre et poulpe (en français) présent dans toutes les mers du globe. Ces animaux se caractérisent par leurs huit bras pouvant comporter chacun jusqu'à plus de 200 ventouses — et leur intelligence. Capable dans l’expèrience du Cdt Cousteau de dévisser le couvercle d’un bocal pour en sortir un bout de poisson ou un oursin.
En cynophilie, le poupre est un mauvais bougre qui ecoute les grands et ne comprends pas toujours leurs discours sinueux comme la route de la Ste Baume et le dit.
Le poupre remarque aussi que l’amour de la race les portent souvent à ne donner les résultats que de leurs chiens ou ceux issus de, même pour une simple sélection.
Leurs fidèles écuyers le tarabustent de leur fiel pour punir le poupre de sa soi-disant jalousie (hors jeu: le poupre est toujours content qu'un pointer se classe, il n'a pas remis en cause les fields d'été, lui), se trompant de cible car ils oublient qu’il a aussi produit peu mais bon au niveau CAC de Printemps et des sélections d’Espalem.
Ces grands oublient parfois la signature d’une photo, tellement que reconnaître le talent provoque des gerçures.
Quant à travailler ensemble entre « poupres » pour la race, il faudrait partager les mêmes valeurs à savoir aller chercher des génteurs de GQ ou P et faire courir ses chiens dans les épreuves sélectives de Printemps.
« Le pouprillon devient cynophile le jour où, il arrête de se regarder l’embouligue »